Il en a marre des « mois à 700 ou 800 euros alors que je travaille tous les jours, qu’on ne me paie qu’une partie des heures et que je dois me taire, parce que le patron sait que je travaille sous une autre identité », comme une centaine d’autres sans papier obligés de travailler sous une autre identité, ce que veut interdire la loi sur les migrations.